Et personnellement c'était pas si mauvais que ça. Enfin le problème c'est que c'est exactement la même recette qu'Ong Bak: une histoire où des problèmes amènent des paysans à se frotter à la ville.

Scenar toujours aussi simpliste, mais peut-être est-ce surtout parce que nous occidentaux ne connaissons pas grand chose à la culture asiatique.


Par contre les combats sont merveilleux, voire même meilleurs que dans Ong-Bak, plus de techniques spectaculaires et surtout plus d'adversaires de qualité aux techniques de qualité, hein Johnny?


Mais le problème de ce film, c'est que si Ong Bak a sû plaire c'est à mon avis parce qu'il est passé comme une nouveauté, c'est à dire que la baston thaï se faisait quand même assez rare sur le plan international, et donc c'est pour ça qu'on a vraiment aimé cette surprise. Mais L'honneur du Dragon n'apporte rien de nouveau par rapport à son prédecesseur puisque c'est exactement la même recette qui est utilisé, et c'est à mon avis pour cela que ce film aura bien moins de succès qu'Ong Bak.

Enfin je citerai les massacres de la version française, notament les chanteurs thaïlandais du début dont les paroles ont été traduites en français.


Voilà, donc je suis pas du tout d'accord avec I-No, ce film est encore très loin de mériter le titre de daube de l'année, et je rappelle qu'un nanar n'est un nanar que s'il est vraiment nulos sur tous les points, or scusi mais vu les combats présents dans le film celui-ci ne risque pas d'être classé ainsi, d'ailleurs je trouve les scènes de narration bien plus supportables que dans Ong Bak, et de plus il n'a pas eu droit à une censure musicale made in Europa.corp (except le générique final qui craint). Et si un scenar et une mise en scène narrative merdique t'effraient à ce point, dans ce cas il ne te faut surtout pas voir "Drunken Master 2" qui, s'il est un film culte niveau baston, est une horreur monumentale au niveau du jeu des acteurs totalement insupportable.
Et les daubes martiales y en a des tas et des tas, tiens rien qu'un exemple: "Lutte Féroce à Shaolin", en voilà un vrai nanar.
